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06/11/2019
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Un projet international pour protéger la biodiversité franchit une nouvelle étape

Les espèces aquatiques envahissantes menacent la biodiversité marine, mais l'OMI mène un projet majeur, à l'échelle mondiale, pour lutter contre cette menace et trouver des solutions à ce problème. Ce projet vient de franchir deux jalons importants, puisque deux pays supplémentaires, soit l'Indonésie et le Mexique, ont formé leurs équipes spéciales nationales.

Le projet de partenariats GloFouling est une initiative conjointe du Fonds pour l'environnement mondial (FEM), du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et de l'OMI. Il permet à des pays en développement de lutter contre le transfert d'espèces aquatiques envahissantes causé par l'encrassement biologique, c'est-à-dire l'accumulation d'organismes aquatiques sur la coque des navires et d'autres structures maritimes.

L'OMI a mené des ateliers en Indonésie et au Mexique au cours du mois d'octobre afin d'échanger sur les aspects techniques de la problématique de l'encrassement biologique et sur les modalités institutionnelles mises en place par ces pays afin de prendre part au projet GloFouling. Ces ateliers ont réuni les nombreux intervenants qui joueront un rôle dans les équipes spéciales nationales : en plus des autorités nationales en matière d'affaires maritimes et d'environnement, les équipes spéciales comprennent des représentants de l'industrie, des universités et des établissements de recherche. Lors de l'atelier, une vue d'ensemble des menaces posées par les espèces envahissantes et l'encrassement biologique a été présentée. Il a également été question des cadres réglementaires existants et des éléments essentiels pour l'élaboration de politiques nationales.

Le projet de partenariats GloFouling compte 12 principaux pays partenaires. De ce nombre, huit ont maintenant leurs équipes nationales spéciales : en plus de l'Indonésie et le Mexique, c'est le cas du Brésil, des Fidji, de Madagascar, de Maurice, des Philippines et des Tonga. L'Équateur, la Jordanie, le Pérou et le Sri Lanka doivent mettre en place leurs équipes nationales spéciales au cours des prochains mois.

Pour le Mexique et l'Indonésie, la prochaine étape sera d'élaborer des rapports de base nationaux afin d'évaluer la situation actuelle en lien avec les espèces allogènes. Ce processus permettra d'identifier les résultats des travaux de recherche disponibles et les impacts économiques, en vue de prendre des décisions éclairées.

 
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